jeudi 21 avril 2011

Penchons-nous sur Pise !

Encore une nouvelle journée, qui commence à Florence, avec la visite de la Galleria dell'Academia, avec notamment le David de Michelangelo. Une arrivée très tôt (8h25) qui m'a permis de n'avoir "que" 30 minutes de queue (au lieu des 2h30 que certains faisaient hier). Pas de photo perso, pas le droit.

Photo DR


Après cette visite matinale, c'est parti pour Pise, en plein coeur de la Toscane.


Même si les abords des lignes ne sont pas de plus jolis, on trouve de beaux paysages. Autre chose marrante, la banlieue de Florence, où maisons traditionnelles et zones industrielles se côtoient dans une urbanisation des plus anarchistes.

Mais finalement, nous voila à Pise ! Et c'est simple, la ville est superbe.



Une ambiance extraordinaire, des bâtiments médiévaux très bien restaurés : je crois que j'ai un coup de cœur pour cette ville (plus encore que pour Florence)


Petit arrêt nature à la Piazza Martiri della Libertà, un très joli parc.


Vu de l'école Normale Sup de Pise, l'un des plus beaux bâtiments de la ville.Et finalement....


La Tour de Pise ! La seule, l'unique. A peine aperçue, le temps de prendre une photo, et hop, je vais à la billetterie. Et là, douche froide : la seule visite de la tour coûte 15 euros (sans aucune réduction) et l'accès se fait par groupe à horaires fixes. Bon finalement, je prend une place pour la session de 16h40, sachant que j'étais arrivé à 13 heures, mais clairement, c'est cher. En attendant je vais faire le tour.


Le saviez-vous : 100% des couillo... touristes à Pise se prennent en photo essayant de pousser la Tour dans un sens ou dans l'autre.


Je vous l'ai dit : 100%


Retour en ville avec un passage devant l'une des plus belles églises de la ville : Santa Maria della Spina. Une toute petite église coincée entre les quais et les voitures. Étonnant à voir.


Une fresque de Keith Haring, comme quoi, il n'y a pas que de l'architecture ancienne à Pise !


Et là, on à l'intérieur d'une librairie : La Feltrinelli. Celle-ci propose, dans son arrière-cour, un espace où on peut lire les livres ou les journaux du jour gratuitement, couvert par les branches d'arbres aux fleurs violettes. Une ambiance exceptionnelle, et un endroit idéal pour reposer ses pieds après des heures de marches.


En Italie, on n'a pas peur des signes.

Mais il ne faudrait pas oublier qu'à 16h40, il y a la Tour de Pise. Vous l'attendiez tous, voici l'ascension !


A l'intérieur, dans les escaliers, on ne ressent pas tant que ça la sensation de roulis. Par contre, à l'extérieur, oui.


Au premier étage.


Au deuxième.


Au troisième.


Au quatrième (qui est l'un des étages ouverts de la tour).


Au sixième étage, vue imprenable sur la Piazza dei Miracoli, et son Duomo.



Le septième étage est celui des cloches de la tour. A noter que c'est l'un des étages ouverts, comme le quatrième et...


Il faut monter ces escaliers très étroits pour arriver au...


Huitième étage, et la possibilité de prendre de magnifiques photos, notamment quand le ciel était magnifique, comme ici !


Il faudra malheureusement redescendre, mais j'en ai profité pour prendre une vue de l'intérieur de la tour...


Qui est creuse.


Il est l'heure de prendre la sortie, et de rentrer à Florence pour faire le tri parmi les 160 photos que j'ai pris aujourd'hui. Et demain, finalement, ce sera encore Florence, car je n'ai pas fini avec cette ville.

Ciao !

4 commentaires:

  1. Bonjour.
    Je découvre votre blog par hasard grâce à mon moteur de recherche et je suis horrifiée. Comment pouvez-vous écrire des choses aussi perverses ? J'arrive à lire les double sens et les votres sont écoeurants de bêtise et de provocation. Photo d'un adolescent nu avec une pose de main très homosexuelle + titre "penchons-nous sur Pise" = apologie des pratiques anales homosexuelles. Je mets votre blog dans ma liste de contrôle parental au cas où mon fils ou ma nièce tomberaient dessus. Vous êtes pitoyable dans votre obsession du sexe et la promotion de pratiques honteuses.

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  2. Juré-craché, rien à voir là-dedans, ce n'est pas une méthode maléfique de sape... J'aurai plutôt tendance à croire que le petit frisé aux chaussures bicolores n'est pas étranger à cette sombre histoire... D'ailleurs, il vient de s'envoler pour le Maghreb, probablement pour se soustraire à la justice en rejoignant le palais d'un quelconque despote... Je te le dis Samy "aucune coïncidence, que des faits..."

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