jeudi 28 avril 2011

Le pragmatisme de Prague

Adieu l'Autriche, bonjour la République Tchèque. Après un petit déjeuner et une pâtisserie, ma couchsurfeuse m'indique que je peux rejoindre Prague depuis la gare locale, ce que je fais.


Un bout du Danube. Bref, mon train m'amène à la ville de Breclav.


Son église. Le temps de changer de train, et hop, Prague !


Sa gare. Le temps de trouver l'auberge, sympa, mais qui mériterait un coût de neuf, c'est parti !


Et Prague est noir de monde ! Plus que Venise ou Florence même !


Du coup, prendre des photos sans touristes relève de la gageure.


L'une des arches du Charles Bridge, l'attraction touristique de la ville.


Une vue de l'ancienne ville depuis le pont, pour appuyer mon propos.


Et donc l'une des statues du pont.


Une petite vue du quartier de la Mala Strana, et du musée Kafka.


La deuxième arche du Charles Bridge, et ses touristes.


Et donc la Mala Strana, quartier charmant et beaucoup moins fréquenté.


Où se trouve la tour Saint-Nicolas, adossé à l'église du même nom.


L'occasion de prendre quelques paysages.


Et de constater que le Charles bridge est vraiment noir de monde.


Pour prendre ensuite le château de Prague.


Et d'arriver tout en haut et de prendre la ville selon le point de vue de la police secrète tchécoslovaque. 


Car la tour Saint-Nicolas est aussi connue pour être un poste d'espionnage sur les ambassades occidentales à la période de la Guerre froide.


En redescendant, j'assiste à la sonnerie traditionnelle entre les différentes tours de Prague.


Et c'est donc autour d'une bonne chopine que ce termine ce message. A demain !

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