Ne boudons pas notre plaisir à Budapest

Première étape hors des terres italiennes, qui a commencé avec un voyage en train-couchettes, à travers les Balkans. Sans m’en rendre compte, je me suis ainsi arrêté à Ljubljana, Zagreb... Enfin, ce qui est très bête, c'est qu'on se faisait réveiller toutes les deux heures par les douaniers de chaque pays pour le passeport. Au moins, j'aurais eu droit à mon premier tampon sur le passeport.
Passons sur ma nuit : le lit était une planche. Mais le petit déjeuner était sympa, et le "vrai" wagon restaurant compléter bien l'affaire.

Au matin, on longeait le lac du Balaton.

Et voici l'arrivée en gare de Budapest-Keleti.

L'extérieur de cette gare, très jolie, mais aussi très en travaux.
Bref, j'arrive à l'auberge de jeunesse, très sympa, puis je fais un tour pour essayer d'échanger des euros en florins. Mais un dimanche, de Pâques en plus... Heureusement, ma carte bleue fonctionne, et finalement, je peux retirer des sous.
Finalement, c'est l'heure de partir faire une vraie balade.

Et on commence par la basilique Saint-Étienne, du nom du fondateur de Budapest.

L'occasion de prendre de jolis panoramas.

Mais aussi de visiter l'intérieur, très joli aussi.

On passe de "Pest" à "Buda" par le "Chain Bridge".

Sans oublier de prendre en photos le Parlement.

Et on arrive au Palais royal, qui regroupe plusieurs musées. J'ai pu visiter celui de la ville de Budapest, intéressant mais un peu fouillis.

A l'arrière du château se trouve toute une partie de Budapest qui a l'air moins touristique.

Et sur le côté se trouve le Village, tout un quartier magnifique, classé au Patrimoine mondial de l'Unesco. A noter que j'y ai trouvé une superbe pâtisserie, où j'ai pu manger une part d'un superbe gâteau pour moins de 2 euros (la vie semble beaucoup moins chère qu'en France. Surement que les salaires sont beaucoup moins élevés aussi)
C'est sur ce secteur que se trouve l'église Saint-Mathias, que je visiterai demain.

Retour sur les quais du Danube avec la vue arrière du Parlement...

Ainsi que la flamme commémorative des émeutes de 1956.

Demain, encore beaucoup de marche au programme, mais j'aime ça !