vendredi 29 avril 2011

Prague, monts et vallées

Deuxième jour dans la capitale tchèque, toujours aussi noire de monde. Pour éviter la crise, je décide de passer par la place du Vieil Homme, pour accéder au quartier du château.


Avec son tram qui, parfois, partage la route avec les voitures.


Zoom sur l'église de la Place du Vieil Homme.


Et donc une vue du Charles' bridge depuis l'est.


Et juste avant, l'Opéra de Prague.


Oh, la belle plaque d'égout. 


Et hop, direction le Château royal, avec ses nombreuses marches.


Et j'arrive juste à temps pour le défilé de la Garde d'honneur tchèque.


Mais vu le monde présent, je décide de reporter la visite, et de visiter l'arrière de la vielle ville.


Cela me permet de découvrir la Monastère de Strahov.


Avant d'avoir un joli point de vue sur la ville.


Je décide alors de me balader sur la colline de Petrinské.


Une ambiance très nature, et surtout très calme. Une partie de Prague beaucoup plus agréable à visiter que la vielle ville en journée.


Prague a aussi son funiculaire.



En redescendant vers le château, le vent souffle et c'était vraiment agréable de se balader entre nature et vielles pierres, dans une ambiance "chaleureuse et conviviale".


Et j'arrive juste à temps pour la relève de la garde.


A l'intérieur de la cour du château se trouve la cathédrale Saint-Guy.


La visite se déroule en plusieurs parties, avec la visite du vieux château pour commencer.


Puis c'est l'ancienne chapelle.


A l'architecture intérieure surprenante.


Puis la cathédrale en elle-même.


Dans la pure tradition gothique.


Une vue du plafond.



Finalement, ma deuxième journée a été beaucoup plus agréable, merci la nature.
A demain, à Berlin !

jeudi 28 avril 2011

Le pragmatisme de Prague

Adieu l'Autriche, bonjour la République Tchèque. Après un petit déjeuner et une pâtisserie, ma couchsurfeuse m'indique que je peux rejoindre Prague depuis la gare locale, ce que je fais.


Un bout du Danube. Bref, mon train m'amène à la ville de Breclav.


Son église. Le temps de changer de train, et hop, Prague !


Sa gare. Le temps de trouver l'auberge, sympa, mais qui mériterait un coût de neuf, c'est parti !


Et Prague est noir de monde ! Plus que Venise ou Florence même !


Du coup, prendre des photos sans touristes relève de la gageure.


L'une des arches du Charles Bridge, l'attraction touristique de la ville.


Une vue de l'ancienne ville depuis le pont, pour appuyer mon propos.


Et donc l'une des statues du pont.


Une petite vue du quartier de la Mala Strana, et du musée Kafka.


La deuxième arche du Charles Bridge, et ses touristes.


Et donc la Mala Strana, quartier charmant et beaucoup moins fréquenté.


Où se trouve la tour Saint-Nicolas, adossé à l'église du même nom.


L'occasion de prendre quelques paysages.


Et de constater que le Charles bridge est vraiment noir de monde.


Pour prendre ensuite le château de Prague.


Et d'arriver tout en haut et de prendre la ville selon le point de vue de la police secrète tchécoslovaque. 


Car la tour Saint-Nicolas est aussi connue pour être un poste d'espionnage sur les ambassades occidentales à la période de la Guerre froide.


En redescendant, j'assiste à la sonnerie traditionnelle entre les différentes tours de Prague.


Et c'est donc autour d'une bonne chopine que ce termine ce message. A demain !

mercredi 27 avril 2011

Ad-Vienne que pourra !

Deuxième et dernier jour dans la capitale viennose. Sur les conseils de ma couchsurfeuse, je prend le tram en direstion du centre-ville.


Dans un tram à l'ancienne, avec sièges en bois et tout et tout...


J'arrive en centre-ville, où je profite pour prendre plusieurs bâtiments, comme le Volkstheater (le théâtre du peuple) 


La devanture du Museumquarter et son porte-vélo assez amusant.


Le musée des sciences de Vienne.


Et sa mascotte, un éléphant trop choupinouninou.


Et là, c'est l'entrée du palais impérial. Oui, celui de Sissi. Mais vous ne verrez pas l'intérieur. L'heure de queue et l'entrée assez chère m'en dissuade.


Néanmoins, le hall d'entrée  est très sympa.


L'autre entrée du palais impérial.


Vienne en une image (Pour Sophie : look look, des chevaux)


C'est l'heure de mangé, et je décide de prendre un vrai repas à l'autrichienne : saussisse, bretzel et strudel. Miam (heureusement que je marche beaucoup pour éliminer l'ensemble)


Ensuite, en attendant 14 heures, je me rends dans deux petits musées. Le premier, le musée de l'esperanto, est consacré à cette langue et aux langues inventées (comme ici le klingon, mais pas l'elfiaue du Seigneur des Anneaux). Beaucoup trop court (deux pièces à peine) pour être sympa, même s'il y avait un Pac-man pour apprendre l'esperanto.


Ensuite, le musée des globes, à peine plus long, mais plus sympa:


Si j'attend 14 heures, c'est que je vais aller visiter le Parlement autrichien.


Bien que celui-ci date du XIXe siècle, il a été construit dans un style entièrement grec ancien, pour rendre honneur au pays inventeur de la démocratie.


Comme le prouve la salle des pas perdus. Hormis la chambre des députés, tout le reste est d'époque.


Comme cette chambre, qui ne sert plus qu'aux visites.


Ensuite, je me rend au Kunst Haus Wien - musée Hundertwasser, du nom du concepteur du lieu, Friedensreich Hundertwasser, un artiste complet, à la fois peintre, architecte, ilustrateur... Une sorte de Picasso autrichien, qui bannisait la ligne droite


Comme le prouve cette fontaine. C'était aussi un amoureux de la nature, qui a mis des arbres au coeur du musée. Un lieu vraiment agréable à vister.


Et au troisième étage se trouve une exposition temporaire, en l'occurence, celle de HR Giger, le concepteur de la créature d'Alien, dont voici l'affiche (les photos sont interdites dans les expositions)


Avant de revenir chez Verdana, ma couchsurfeuse, et de lui préparer une omelette-piperade, une petite photo de l'incinérateur de Vienne, redécoré justement par Friedensreich Hundertwasser.

 À demain à Prague !

(Un message tapé sur un clavier allemand. S'il y a des erreurs, encore désolé.)